Commentaires sur le livre de Marie Thirion, “Pourquoi j’ai faim”, édité chez Ablin Michel en 2013.
Le livre du Dr. Thirion me fascine par son manque de scienficité, son arrogance et son manque de sources correctes… Mais il y a des passages intéressants, et j’ai envie de les isoler. Tentative de synthèse.
En romain ou en image : citations choisies du texte du livre.
En italique : mes synthèses et commentaires.
1: l’Intro
p.11 [Le mot faim] n’a aucune neutralité. Les émotions les plus archaïques s’y téléscopent. La folie semble toute proche, prête à nous envahir pour quelques heures de retard dans un repas […]
p.12 et 13. Pages à oublier. Les dérapages commencent. Le Dr fait des généralités sur l’Histoire de l’Homme, parle du “Pacte de sang” noué par une famille autour de la terre nourrissière… elle évoque aussi des anecdotes sur les jeunes filles obèses de tribus Maghrebiennes, (sa source : un livre de 1934). Ici ce n’est pas le médécin qui parle, mais juste Marie Thirion. Je ne citerai ces passages que pour souligner leur pénibilité.
p.13 : Après la 2e guerre mondiale, deuxième révolution nutritionnelle. Développement industrie mécanique et chimique (tracteurs et engrais, désherbants, pesticides, antimycosiques, antiparasites…) 1960 premiers supermarchés, le produit agricole est transformé en produit complexe, produits de consommation.
Après des des millénaires de manque, l’abondance est soudaine. Cela est annoncée comme l’origine du “surpoids et surtaille” humains depuis un siècle.
p.14 : Passage très intéressant de critique de l’hypoglycémie. J’aimerais avoir plus de sources là-dessus ! 
p16. La mort de faim est la mort la plus lente.
p.17. L’appetit est un équilibre, mais ce n’est pas un équilibre inné. C’est un équilibre qui se construit, qui se dérègle, qui se modifie encore.
p.16. But annoncé de ce livre : comprendre pourquoi la faim a un tel impact sur nous.
p.18 : En comprenant mieux cet équilibre, nous pourrions mieux apprécier la faim, cette merveilleuse pulstion qui nous fait vivre, déguster, grandir et durer.
Deuxième partie : La faim, quelle faim ?